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Les 101 grandes femmes de l’Islam – Sarrazins
0Épouses ou compagnonnes du Prophète ﷺ, érudites ou sultanes, poétesses ou résistantes, les femmes ont durant l’ère islamique joué un rôle prépondérant, souvent méconnu de beaucoup. De Amīna, mère du Prophète Muḥammad ﷺ, à Nana Asmāʾu, princesse et lettrée d’Afrique, de Karīma bint Aḥmad al-Marwaziyya, savante du Ḥadīth, à Hürrem, femme de l’Ottoman Süleymān, de Fāṭima, fille du Messager d’ALlāh ﷺ, à la mystique ʿĀʾisha de Mannūbiyya… Découvrez le récit de vie de certaines des femmes les plus marquantes de l’Islam.
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Histoires des femmes dans le Saint Coran – Tahar Gaid – Iqra
0قصص النساء في القران
Eve, Sarah, Hajer, Zoulaykha, Assia, Balqis, Maryem, Khawla, Aicha, Zayneb… -
La Vie des Compagnons du Prophète – Ibn Kathir –
0Les compagnons les plus illustres sont :
Abû Bakr as-Siddik,‘Umar Ibn al-Khattâb,
‘Uthmân Ibn ‘Affân,
‘Ali Ibn Abi Taleb,
Talha Ibn ‘Ubaydallah,
Zubayr Ibn al-Awwâm,
‘Abde ar-Rahman Ibn ‘Awf,
Sa’d Ibn Abî Waqqâs,
Abû ‘Ubayda Ibn al-Jarrâh,
Sa’îd Ibn Zayd.
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Le livre d’histoires du Prophète Muhammad – La mission du Prophète à la Mecque – Volume 3
0Pour enfants agés de 7 ans et plus
Edition GoodWord -
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La Sîra Du Prophète, Par Yasir Qadhi
0Adaptation écrite de la célèbre série de conférences du Dr. Yasir Qadhi sur la Sîra du Prophète Muhammad (psl), cet ouvrage rafraîchissant propose une étude approfondie de la vie du dernier des Messagers et combine harmonieusement le récit chronologique, l’explication du contexte et l’analyse contemporaine. Accessible et bien référencée, cette Sîra moderne multiplie les réflexions sur les actions du Prophète (psl) leur pertinence dans nos vies et les leçons que nous pouvons en tirer, tout en jetant un jour nouveau sur le Qur’ân et sa révélation.
L’on oublie souvent que, de même que le Qur’ân, la vie du Prophète (psl) fut un miracle à part entière : en l’espace de vingt-trois ans, le Message d’un homme illettré submergea en effet les cœurs de toute l’Arabie et prépara ses disciples à le propager à travers le monde – au point que, quelque quatorze siècles plus tard, ses enseignements se sont répandus sur tous les continents. Il est donc du devoir de chaque musulman de connaître sa biographie et sa personnalité afin de l’honorer et de se rapprocher, dans la mesure de nos capacités, de son exemple.
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Nana Asma´u, Un idéal féminin
0Femme, Africaine, musulmane : trois identités fortes. Chacune, au cours de l’histoire, eut à lutter pour la reconnaissance de sa dignité et de son rôle dans le destin de l’humanité. Ces combats se poursuivent aujourd’hui et sont à l’origine de mutations importantes en divers lieux du monde. Le terreau est la société africaine dans laquelle l’islam s’est diffusé et qui a accueilli la nouvelle religion tout en maintenant des traditions également solidement ancrées, parmi celles-ci le rôle de femmes puissantes, traditionnellement sœurs des dirigeants, nommées à la tête de la communauté des femmes, maîtresses du culte, parfois collectrices de l’impôt, régentes en l’absence de leur frère, voire combattantes à leurs côtés. À l’aube du 19e siècle, une femme musulmane en Afrique subsaharienne fit de cette triple identité une puissance d’action telle qu’elle provoqua une onde encore ressentie plus de cent cinquante ans plus tard, au-delà même de son continent d’origine, de l’autre côté de l’Atlantique. Son nom : Nana Asma’u bint Shehu (Cheikh) Usman dan Fodio (1793-1865), princesse lettrée, écrivaine, femme combattante engagée dans le jihâd de l’éducation. L’écho de ce nom, par-delà les générations, résonne jusque dans des villages reculés du Soudan. Et a pu s’épanouir ce qui est aujourd’hui le principal héritage de Nana Asma’u, cet extraordinaire réseau d’éducation qui porta le savoir dans les villages les plus reculés au nord de l’actuel Nigéria, qui jamais ne fut interrompu malgré la période de la colonisation, et qui traversa l’Atlantique pour inspirer aujourd’hui des musulmanes américaines par un même idéal de connaissance, d’éducation et d’engagement social : le mouvement Yan Taru. Il convient donc d’inverser la logique d’une pensée : non pas femme, Africaine, musulmane, au 19e siècle, mais pourtant lettrée, écrivaine, engagée, puissante. Au contraire : lettrée, écrivaine, engagée, puissante, parce que femme, Africaine, musulmane, au 19e siècle.
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