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Khadija la mère des croyants – Editions Al imam
0TRADUCTEUR: Abu harun Salim
COUVERTURE: Rigide semi cuir -
Les femmes savantes du Hadith – Al Muhaddithat – EDITION AL IMAM
0Ce livre est une adaptation de la préface de l’encyclopédie biographique en 40 volumes (et en arabe) de Muhammad Akram, au sujet des femmes musulmanes qui étudièrent et enseignèrent le hadith. Il prélève, présente, puis réfléchit sur les informations de cette encyclopédie. Il démontre le rôle central des femmes musulmanes dans la préservation de l’enseignement du Prophète , qui reste le guide principal pour comprendre le Coran en tant que règles et normes de vie.
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Histoires des femmes dans le Saint Coran – Tahar Gaid – Iqra
0قصص النساء في القران
Eve, Sarah, Hajer, Zoulaykha, Assia, Balqis, Maryem, Khawla, Aicha, Zayneb… -
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Nana Asma´u, Un idéal féminin
0Femme, Africaine, musulmane : trois identités fortes. Chacune, au cours de l’histoire, eut à lutter pour la reconnaissance de sa dignité et de son rôle dans le destin de l’humanité. Ces combats se poursuivent aujourd’hui et sont à l’origine de mutations importantes en divers lieux du monde. Le terreau est la société africaine dans laquelle l’islam s’est diffusé et qui a accueilli la nouvelle religion tout en maintenant des traditions également solidement ancrées, parmi celles-ci le rôle de femmes puissantes, traditionnellement sœurs des dirigeants, nommées à la tête de la communauté des femmes, maîtresses du culte, parfois collectrices de l’impôt, régentes en l’absence de leur frère, voire combattantes à leurs côtés. À l’aube du 19e siècle, une femme musulmane en Afrique subsaharienne fit de cette triple identité une puissance d’action telle qu’elle provoqua une onde encore ressentie plus de cent cinquante ans plus tard, au-delà même de son continent d’origine, de l’autre côté de l’Atlantique. Son nom : Nana Asma’u bint Shehu (Cheikh) Usman dan Fodio (1793-1865), princesse lettrée, écrivaine, femme combattante engagée dans le jihâd de l’éducation. L’écho de ce nom, par-delà les générations, résonne jusque dans des villages reculés du Soudan. Et a pu s’épanouir ce qui est aujourd’hui le principal héritage de Nana Asma’u, cet extraordinaire réseau d’éducation qui porta le savoir dans les villages les plus reculés au nord de l’actuel Nigéria, qui jamais ne fut interrompu malgré la période de la colonisation, et qui traversa l’Atlantique pour inspirer aujourd’hui des musulmanes américaines par un même idéal de connaissance, d’éducation et d’engagement social : le mouvement Yan Taru. Il convient donc d’inverser la logique d’une pensée : non pas femme, Africaine, musulmane, au 19e siècle, mais pourtant lettrée, écrivaine, engagée, puissante. Au contraire : lettrée, écrivaine, engagée, puissante, parce que femme, Africaine, musulmane, au 19e siècle.